Au cœur du Douro: la puissance tranquille de la Smart #5 Brabus
Dans les courbes silencieuses de la vallée du Douro, j’ai pris le temps d’écouter la route. Et au volant de la Smart #5 Brabus, j’ai découvert une puissance qui ne s’impose pas, mais qui accompagne. Une force tranquille, dessinée pour se fondre dans le relief.
J’ai pris la route au petit matin, batterie à 100% et avec l’envie brûlante d’un tête-à-tête avec cette nouvelle Smart #5. Rien de démonstratif dans mon envie : juste la promesse d’un lien intime entre la machine et le territoire. Elle a cette gueule qui intrigue, ce design tranché sans être tapageur, musclé sans surjeu. La ligne est affirmée mais fluide, presque minérale. C’est une voiture qui ne cherche pas à ressembler à une autre. Elle est comme le Douro : elle existe, c’est tout.
Il y a des routes qu’on ne traverse pas. On les habite. Le Douro en fait partie. C’est une vallée qu’on ne traverse jamais tout à fait à l’horizontale. Tout y est vertical, organique, enroulé sur lui-même. Le fleuve trace un sillon profond comme une ride sur un visage trop longtemps exposé au soleil. Il faut prendre le temps de s’y glisser.
AWD intelligent, stabilité naturelle
Le silence électrique s’est imposé dès les premiers kilomètres, comme une évidence. Sur les lacets qui montent au-dessus de Peso da Régua, j’ai senti l’équilibre du châssis, précis, rassurant, et cette douceur dans l’accélération, presque sensuelle. Une manière de répondre sans jamais brusquer. Dans les descentes serrées vers Pinhão, j’ai profité du frein régénératif, que je module comme on joue d’une pédale de piano : en finesse.
Agile sans nervosité, précise sans rigidité, la Smart #5 lit la route comme une seconde peau. Parfaite pour les lacets du Douro.
- Michael Trajan
3,9 s : le temps d’un souffle
La vallée s’ouvrait par moments, révélant ses vignes accrochées à flanc de colline, comme autant de lignes de vie tracées à la main. Le ciel, encore laiteux, dessinait des ombres douces sur les terrasses de schiste. Il y avait quelque chose d’étrangement humain dans cette confrontation entre la roche, le végétal et la machine. La Smart #5 ne tranchait pas avec le décor. Elle s’y fondait presque. Peut-être parce que sa modernité n’était pas arrogante.
(accélération de 0 à 100km)
Le silence de l’électrique m’a frappé plus fort que je ne l’avais anticipé. Il y avait juste le son du vent qui glissait sur la carrosserie, et ce léger frottement des pneus sur l’asphalte chaud. À certains moments, j’avais l’impression de flotter. De ne plus être dans une voiture, mais dans une sorte de capsule posée sur le paysage. Et pourtant, jamais je ne me suis senti coupé de ce qui m’entourait. Au contraire. La Smart #5 m’a offert une sorte de transparence au monde. Un confort très physique, oui — assise ferme mais bien dessinée, suspensions équilibrées — mais surtout un confort mental. Comme si elle m’avait laissé l’espace pour regarder, ressentir, ralentir..
À l’approche de Pinhão, je me suis arrêté sur l’un de ces belvédères perchés au-dessus des vignes. Vue plongeante sur le fleuve, lumière d’or pâle, et cette sensation familière d’être tout petit, mais à la bonne place. J’ai tourné autour de la voiture, posé la main sur la carrosserie encore tiède. Il y a des lignes que le regard suit naturellement, comme une phrase bien écrite. Celle-ci en fait partie. Elle est dessinée avec intention, avec une géométrie maîtrisée mais sans raideur. Un peu comme les terrasses de vignes qu’on voit depuis là-haut : tout est construit, pensé, mais rien ne semble forcé.
Un design qui affirme sans imposer.
Lignes tendues, volumes pleins, détails affûtés : la Smart #5 réussit l’équilibre délicat entre singularité et sobriété.
“ Le silence devient un choix. Et la puissance, une nuance.”
- Michael Trajan
À l’heure du déjeuner, je me suis arrêté dans un petit village où le temps semble hésiter à passer. Une terrasse, un verre de branco sec, quelques olives. Et la voiture là, garée en retrait, sans faire de l’ombre à la pierre. J’ai observé les passants la regarder, intrigués. Pas un regard de jalousie. Plutôt une curiosité tranquille. Ce genre de curiosité qu’on réserve aux choses qu’on sent bien pensées.
La Smart #5 Brabus embarque le système Sennheiser Signature.
J’ai repris la route en direction de São João da Pesqueira. C’est là que le Douro devient presque irréel. Les courbes de la vallée se referment sur vous comme une étreinte, et la route, en balcon au-dessus du fleuve, vous oblige à être là, pleinement, concentré. La Smart s’est montrée agile, stable, docile même dans les enchaînements serrés. Elle m’a fait plaisir sans jamais me demander d’effort. Et dans cette confiance, j’ai retrouvé un vieux plaisir de conduite, presque oublié : celui de ne rien avoir à prouver.
À l’intérieur, tout respire la justesse. Pas d’esbroufe, pas de surcharge. Juste une évidence. L’habitacle de la Smart #5 Brabus est un cocon de précision : textures mates, surpiqûres nettes, volumes bien posés. Les sièges en microfibre haut de gamme avec des accents sélectionnés en DINAMICA® offrent un confort premium et une élégance exceptionnelle. Le volant sport en Alcantara, orné du logo BRABUS, offre une prise en main ferme et précise. L’écran se fait discret, fluide, presque vivant. Le système audio Dolby Atmos remplit l’espace sans l’envahir. On sent la main derrière le dessin, la volonté de créer un lieu, pas un gadget. Assis là, le regard glisse, la pensée se calme. C’est un intérieur qui n’impose rien, mais qui donne tout ce dont on a besoin pour être bien. Et c’est rare.
20 haut-parleurs, son immersif, design intégré.
Et c’est peut-être ça que j’attends d’un véhicule aujourd’hui. Qu’il m’accompagne sans me précéder. Qu’il me laisse la place. Qu’il transforme le trajet en un moment à part entière. La Smart #5 l’a fait, sans frime, sans effet spécial. Juste avec justesse. Ce n’est pas une voiture qui cherche à séduire. C’est une voiture qui, si on prend le temps, finit par vous toucher.
Au final, ce voyage n’avait pas d’autre but que ça : ressentir. La route, le paysage, la voiture. Et peut-être aussi me retrouver un peu dans cet entre-deux silencieux, entre les lignes d’un territoire que je connais si bien et cette voiture que je découvrais pour la première fois. Il y avait une forme d’harmonie, rare. Un sentiment simple, presque naïf : être bien, ici, maintenant.